
De la race en Amérique
de Barack Obama
Mise en scène de José Pliya
Avec Eric Delor, Laure Adler
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Du 08/07/2010 au 31/07/2010
14h15.
Théâtre du Balcon
38 rue Guillaume Puy
84000 AVIGNON
04 90 85 00 80
Etats Unis, mars 2008, élections présidentielles.
Ne vous attendez pas à une uvre théâtrale. Il ne s’agit que du discours original et intégral de Barack Obama, donné le 18 mars 2008 à Philadelphia, en réponse aux accusations des média concernant son amitié avec le révérend Whright , de la Trinity Church of Christ. Ce dernier avait proféré publiquement des propos anti-américains et anti-blancs, mettant alors Barack Obama dans l’embarras. Touché en pleine campagne présidentielle, il lui faudra plus qu’un démenti pour regagner la confiance des Américains. Après huit jours de réflexion et de travail, Barack Obama répond à toutes les attaques dans un discours que la presse comparera à celui de Martin Lutherking : "I have a dream".C’est précisément ce discours d’anthologie qu’Eric Delor interprète sans chercher à imiter Barack Obama. José Pyla, le metteur en scène, a souhaité au contraire gommer toutes les expressions superflues afin que l’on entende que le texte, rien que le texte, dans toute sa dimension.Aux premières minutes du spectacle, on a peur de s’ennuyer, puis on se laisse peu à peu emporter par la profondeur et la poésie des propos de Barack Obama.
Samuel Guillemin
21/07/2010

PARIS
Théâtre La Pépinière
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Théâtre La Pépinière
PARIS





MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion MezadorianMise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou

