Lacenaire, ses crimes, son procès et sa mort
de Victor Cochinat
Mise en scène de Nordine Marouf
Avec Nordine Marouf
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Du 14/04/2016 au 30/06/2016
Jeudi à 19h.
Guichet-Montparnasse
15, rue du Maine
75014 PARIS
Métro Montparnasse
01 43 27 88 61
Site Internet
Pierre François LACENAIRE (1800-1836), célèbre bandit, poète et homme de lettres du XIX, né dans une famille bourgeoise, accumula plusieurs injustices et finit par haïr le genre humain.
Pierre François Lacenaire (1800-1836), Dandy, allure frêle et regard noir, ce célèbre bandit et homme de lettres du XIXe naquit dans une famille bourgeoise. Il souffrit pendant toute sa jeunesse du manque d'affection d'une mère et d'un père qui lui préféraient à l'évidence son frère.
Lacenaire accumula plusieurs injustices, et finit par haïr le genre humain. Il devint voleur et assassin d'intention et par système. Doté d'un esprit brillant et pénétrant, profond, idéaliste, sensible, doux… Comment un homme éduqué, rassemblant toutes ces qualités, peut t-il en arriver à voler, tuer ?
Parti du simple vol, Il se fait envoyer en prison pour de petites escroqueries afin d'y recruter des hommes de main dont il serait le cerveau et s'y lie d'amitié avec Avril et le jeune, naïf et maladroit, Bâton, avec lesquels il monte des coups de plus grande envergure, dont le meurtre d'un receleur qu'ils dépouillent. Trahi par Avril, qui espérait ainsi un allègement de peine et qu'il entrainera dans sa chute, Lacenaire avoue sans difficulté ses crimes au Préfet Allard, fait de son procès une tribune et supplie le jury de le condamner à mort.En prison, attendant une mort martyre sur l'échafaud, il écrit ses mémoires. Il confie à Allard, avec qui il s'est lié d'une amitié fondée sur une estime réciproque, le soin de publier son ouvrage.
Comment un être ayant toutes ces dispositions et de surcroit né dans une famille bourgeoise peut-il en arriver là ? Comment un cerveau si brillant peut-il basculer vers le chemin du mal et commettre l'irréparable… L'enfance n'est-elle pas une période déterminante ? N'en est-il pas lui même la victime ?
Lacenaire accumula plusieurs injustices, et finit par haïr le genre humain. Il devint voleur et assassin d'intention et par système. Doté d'un esprit brillant et pénétrant, profond, idéaliste, sensible, doux… Comment un homme éduqué, rassemblant toutes ces qualités, peut t-il en arriver à voler, tuer ?
Parti du simple vol, Il se fait envoyer en prison pour de petites escroqueries afin d'y recruter des hommes de main dont il serait le cerveau et s'y lie d'amitié avec Avril et le jeune, naïf et maladroit, Bâton, avec lesquels il monte des coups de plus grande envergure, dont le meurtre d'un receleur qu'ils dépouillent. Trahi par Avril, qui espérait ainsi un allègement de peine et qu'il entrainera dans sa chute, Lacenaire avoue sans difficulté ses crimes au Préfet Allard, fait de son procès une tribune et supplie le jury de le condamner à mort.En prison, attendant une mort martyre sur l'échafaud, il écrit ses mémoires. Il confie à Allard, avec qui il s'est lié d'une amitié fondée sur une estime réciproque, le soin de publier son ouvrage.
Comment un être ayant toutes ces dispositions et de surcroit né dans une famille bourgeoise peut-il en arriver là ? Comment un cerveau si brillant peut-il basculer vers le chemin du mal et commettre l'irréparable… L'enfance n'est-elle pas une période déterminante ? N'en est-il pas lui même la victime ?
14/06/2016

PARIS
Théâtre La Pépinière
de Marion Mezadorian
Mise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
L'avis de Jeanne-Marie Guillou
Théâtre La Pépinière
PARIS





MARION MEZADORIAN - CRAQUAGE
de Marion MezadorianMise en scène de Mikael Chirinian
Marion Mezadorian, après son one woman show "Pépites", nous présente son deuxième spectacle intitulé "Craquage". Elle décortique des situations différentes les unes des autres mais qui se terminent toutes, inexorablement, par la même conclusion : dire une bonne fois pour...
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